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Un spectacle aux multiples explorations du mouvement, qui offre une adaptation originale du vivant sur fond d’identité commune. Il s'attache à exposer et exprimer la diversité des corps et des écritures chorégraphiques. La chorégraphe invitée au PCCNC Marjolaine Louveau affirme l’identité de son langage par une danse organique à la fois singulière et commune. Le spectacle « Adaptations » en 2022 est le troisième volet d’une trilogie explorant des écritures chorégraphiques. En 2018, « 20 milles lieux sous les mers » puis en 2020 « Organiques », explorent l’évolution du monde sous-marin sur des terres émergées. Des terres sur lesquelles le vivant entame dans ce troisième volet des « adaptations ». Son écriture et langage du corps s’aiguisent dans la production de cinq tableaux dansés qui invitent le spectateur, tour à tour, à découvrir les réminiscences d'une onde originelle du monde végétal, du monde animal et humain venue de l’océan… La chorégraphe entrecroise et conjugue des danses issues de toutes les techniques pour développer de nouvelles mutations et d’adaptation du vivant.
Dans ce spectacle, les vagues d’une mer agitée se déversent sur terre…
Cette puissance énergétique venue de l’origine du monde, ondule, rayonne et se transmet au vivant…
Le monde de la mer bercé par le mouvement des vagues, ondule imperceptiblement pour former des courants…
Tout comme pour le monde végétal, animal et humain, le mouvement propulse chaque espèces du vivant dans une adaptation originale sur fond d’identité commune.
Accueillie en résidence au Centre Culturel du Mont-Dore pour cette deuxième année, invitée de la Cie PCCNC la chorégraphe Marjolaine Louveau revient et poursuit son exploration et investi les terres émergées. L’identité de son langage se prolonge par l’étude d’une danse organique à travers cette fois-ci les terres fertiles de Nouvelle-Calédonie sur laquelle le monde du vivant entame une conquête des espaces… Ils invitent le spectateur à la découverte cette fois-ci du monde végétal, du monde animal jusqu’au devenir du monde humain… Dans ce spectacle, la terre ferme permet aux organismes vivants d’offrir de nouvelles mutations et d’adaptation du vivant. Ainsi, elle va développer une interprétation chorégraphique du monde végétal qui doit lutter pour se hisser vers la lumière et encrer ses racines pour s’émanciper… C’est une lutte perpétuelle contre la gravité, le poids et le temps… Du monde animal doit lutter pour se déplacer vers une nature abondante. C’est une lutte perpétuelle contre leur masse, volume et l’espace…Et du monde humain lui doit lutter aujourd’hui pour vivre ensemble. C’est une lutte perpétuelle vers la relation et la communication. La chorégraphe utilise une gestuelle organique et caractéristique pour inviter le spectateur à ressentir… Elle met ainsi en valeur chaque technique de danse distinctement au service de ses chorégraphies et de ses mises en scène. Au delà d’une performance technique, elle rend visible des corps habités par une interprétation du vivant à la fois singulière et commune.
Accueillie en résidence au Centre Culturel du Mont-Dore, la chorégraphe invitée Marjolaine Louveau a jeté l’ancre sur cette « terre de mer ». Passionnée de plongée, d’espace maritime, elle est venue à la rencontre de la matrice. L’objet de la quête est de partager cet élément polymorphe dans un travail à la recherche du corps aquatique. Ce travail trouve écriture chorégraphique dans le spectacle 20 mille lieues sous les Mers. La chorégraphe utilise une gestuelle organique et caractéristique pour inviter le spectateur à ressentir… Sa danse regroupe différentes techniques comme le classique, jazz, contemporain, africaine et hip-hop. Elle met ainsi en valeur chaque technique de danse distinctement au service de ses chorégraphies et de ses mises en scène. Au delà d’une performance technique, elle rend visible des corps habités par une interprétation mi-homme mi-animal. La lecture du spectacle est comme celle d’un conte énonçant de courts récits sur trame du merveilleux ou du fantastique, ouvrant l’imagination et expose en lumière l’interprétation des danseurs et de chaque personnage. L’ensemble des tableaux chorégraphiques forme une évolution d’états corporels offrant variété, finesse et contrastes chorégraphiques.